Même de son vivant, une dispute notable à propos de Bruno Gröning est apparue en public. Les avantages et les inconvénients ont laissé des ombres de plus en plus petites dans la conscience des gens, de sorte que très peu de gens pouvaient voir qui il était réellement. Les ombres ne peuvent pas être effacées si facilement, ne peuvent pas être supprimées si facilement dans un sens non violent, car le pour et le contre peuvent toujours apparaître. Beaucoup d’entre eux connaissaient bien Bruno Gröning, mais très peu d’entre eux l’ont reconnu à l’intérieur. Ils voulaient juste être guéris, et ils seraient allés directement chez n’importe quel nouveau guérisseur ; Cela aurait donc changé le guérisseur et n’y aurait pas pensé.
Il est bon que les gens espèrent un remède, tant qu’ils ne s’accrochent pas aux guérisseurs et n’aspirent pas leur force vitale. Vous pouvez aussi aller chez n’importe quel guérisseur, mais vous devez penser avec votre cœur que le « IT » coule à travers chaque guérisseur, le pouvoir divin, le pouvoir de la santé, car la maladie est un mal.
Bruno Gröning a souligné à plusieurs reprises qu’il ne faut pas focaliser ses pensées sur son corps, mais plutôt sur « L’IT », sur la puissance divine, sur la santé et sur la richesse de la santé. La santé est en fait une richesse inestimable, mais la santé est aussi, si elle est réelle, la toute-puissance de Dieu, qui peut se réaliser en chaque personne lorsqu’elle s’ouvre complètement et prend le « IT » en soi.
Bruno Groening n’a pas été formé au sens scientifique comme un professeur ou un médecin. Il ne voulait même pas l’être, car alors il n’aurait pas été en mesure de démontrer la puissance réelle et véritable de Dieu.
Beaucoup de personnes malades pensent trop à leur maladie et à leur maladie, elles s’accrochent à leur maladie dans leur esprit. Comme disait Bruno Gröning : « Vous êtes assis sur la maladie ! ».
Son travail et ses actions visaient principalement à dissuader les gens de penser à la maladie – c’est-à-dire au mal. Encore et encore, il a souligné de ne pas se concentrer sur la peur ou l’anxiété, toutes ces pensées s’accrochent à la maladie – le mal – et le pouvoir divin de guérison ne peut pas être absorbé par la personne cherchant de l’aide, ne peut pas se propager en lui. L’homme se protège inconsciemment du courant de guérison (Heilstrom) avec de telles pensées. Afin de pouvoir recevoir cela aussi fortement que possible, il est nécessaire d’éteindre le propre rayonnement, c’est-à-dire toutes les pensées idiosyncratiques, égoïstes et dérangeantes autant que possible. Afin de participer à la grâce divine, l’âme doit s’ouvrir au divin dans une piété reconnaissante. Nous devons devenir comme des enfants pour recevoir le bien divin. Pas mineur et sans responsabilité, mais sans culpabilité, sans envie, haine et sans désir de pouvoir mondain ; possessions et jouissances terrestres.
On retrouve sans cesse l’exigence religieuse exprimée par Bruno Groening selon laquelle l’être humain doit éteindre son « ego » et oublier que la puissance divine ne peut se révéler que dans l’âme croyante tournée vers le bien et la vérité. L’expérience a montré dans de nombreux cas qu’une personne humble, qui subordonnait humblement et respectueusement son destin et sa guérison au décret de Dieu, recevait le plus fortement le Heilstrom et parvenait ainsi à une guérison complète. Cependant, ceux qui ont exigé la guérison avec fierté, assurance et exigence, ont empêché la puissance supérieure d’affluer par leur volonté égoïste et n’ont pu obtenir leur guérison que dans une faible mesure ou pas du tout. d’esprit, les mots de Bruno Groening sont à comprendre lorsqu’il n’arrêtait pas de répéter : « Ne pas exiger mais acquérir !
Bruno Groening ne pouvait pas et n’avait pas le droit de dire tout ce qu’il savait, bien sûr, car il s’adressait à des personnes de tous horizons, y compris des personnes très simples ; ils ne pouvaient le comprendre qu’à l’aide d’un langage simple, à savoir le langage du cœur. Il était guide. S’il leur montrait ensuite quelques paraboles, il se pourrait bien que ces images soient parfois qualifiées d’« illogiques » par d’autres. Ce sont surtout ceux qui se croyaient élevés au-dessus des connaissances de Bruno Groening, c’est-à-dire. ceux qui étaient intellectuellement éduqués. Ceux qui étaient plus imprégnés de l’esprit académique que de l’esprit divin et, bien sûr, d’abord et avant tout les ennemis évidents. Il en avait eu assez de ce genre à vaincre pendant son ministère. Il avait des amis et des ennemis.
Parfois, alors qu’il devait faire beaucoup de choses, des gens venaient à ses côtés qui voulaient soi-disant l’aider, y compris des soi-disant « managers » qui étaient dominés par des idées organisationnelles. Ils étaient surtout attirés par les pensées d’argent et de succès. Ils étaient donc déjà dans des eaux complètement fausses lors de leur approche. Cependant, puisque Bruno Groening n’a pas pris de décisions violentes contre qui que ce soit, mais a agi de manière non-violente, en faisant preuve de patience ; il ne les a pas rejetés, mais a essayé encore et encore de conduire ces personnes sur le droit chemin par son exemple et son travail.
Alors il a suivi son chemin, le chemin de sa mission d’aider les malades. Cet objectif était toujours au premier plan. Bruno Gröning a également pu exposer des personnes dans un de manière violente, qui a néanmoins eu un effet, au point que certains lui sont devenus hostiles. Les gens ne peuvent tout simplement pas supporter la vérité ou seulement avec beaucoup de difficulté, ils veulent éluder la vérité, ils veulent aller sur la voie large et non sur la voie étroite du service, du renoncement, de la patience, de la bonté, de la miséricorde, de l’amour divin et du désir éternel de aider.
Alors que Bruno Groening a toujours voulu être là pour les gens, beaucoup d’injustices lui ont été faites. L’envie contre lui était incommensurable. Les journaux publiaient de gros articles contre lui, d’autres écrivaient pour lui. Lorsque de faux rapports ont fait surface, il est resté silencieux et n’a pas utilisé la violence. Sa tolérance était admirable. Il a rempli sa mission en aidant les gens jusqu’à peu de temps avant sa mort. Il savait exactement quand son temps était écoulé et les miracles qui ne sont pas des miracles se sont produits presque jusqu’à la fin.
Dans la presse, il a été rapporté par ex. qu’il est mort des suites d’un cancer de la gorge. Beaucoup plus a été dit, mais pas juste. En réalité, c’était ainsi : Bruno Gröning a supporté les souffrances, les maladies, les épreuves et aussi les péchés et les dettes des autres jusqu’à sa dernière heure. Sa voie était une voie de crucifixion terrestre. Mais il n’en parlait pas en général. Il dit aux malades : « Donne-moi ta maladie » Et il parlait de choses apparemment sans importance pour détourner de lui la concentration des gens afin qu’il puisse les soulager de la maladie.
Ainsi, dans un sens authentiquement chrétien, il portait une grande partie des ténèbres qui se sont propagées dans le monde infesté de maladies. Son goitre n’était pas un goitre au sens habituel du terme, mais un enrichissement de puissants pouvoirs de guérison. Il n’a jamais été opéré du goitre.
Il a servi en tant que guérisseur du peuple, et il est donc faux de prétendre qu’il est mort d’un véritable cancer. Ce qu’il a pris et emporté des autres a provoqué un changement dans son organisme, cela a produit une brûlure interne. Cette condition a laissé même les médecins sans voix, car il ne souffrait pas, pouvait manger et donner des conférences. Vous ne l’avez pas du tout remarqué, à une époque où les médecins le qualifiaient déjà de malade en phase terminale. Ces médecins étaient les amis de Bruno Groening depuis de nombreuses années. Et il a permis à ces deux amis parisiens de l’examiner afin de laisser des traces documentaires sur son état réel du monde. Ces documents sont en ma possession. Bruno Groening n’a été alité que les trois derniers jours avant de rentrer chez lui, et il est passé dans l’éternité complètement calme et sans combat. Cela s’est passé précisément au moment où l’on aurait manifestement réussi à l’empêcher de remplir sa mission divine. Le 22 janvier 1959, quatre jours avant sa mort, le processus d’une importance vitale pour Bruno Groening prend fin à Munich. Le procureur a de nouveau demandé une peine de prison.
On voit déjà aujourd’hui que le pouvoir divin qu’il a ramené sur terre, auquel il a à son tour ouvert la porte – il disait souvent : “Ce pouvoir et cet enseignement ne sont pas nouveaux, ils sont anciens” – continue d’avoir un effet accru . Ce pouvoir n’a pas été affaibli car il y a une vie après la mort. Même si Bruno Groening n’est plus physiquement parmi les gens, il l’est davantage mentalement et spirituellement, en tant que serviteur de la santé, en tant que serviteur de Dieu, en tant que médiateur du pouvoir divin de guérison. Il n’est donc pas nécessaire de le voir en personne, car si vous vous adaptez à Dieu, au pouvoir divin de guérison, Bruno Groening en tant que serviteur peut continuer à donner ce pouvoir aux amis comme aux étrangers !
Les gens devraient donc s’adapter au courant divin. Ils devraient le prendre dans leur cœur, Bruno Groening sera l’un des assistants et médiateurs invisibles. De la porte céleste, on pourra percevoir de plus en plus l’aide de Dieu.
Le travail de Bruno Groening sera bien entendu poursuivi. Le « Groupe de travail libre Bruno Groening » [1] a été fondé le lundi de Pentecôte. Vous devriez servir une évaluation consciencieuse des expériences avec Bruno Groening, et aussi préparer d’autres chemins importants. Ce qui a été commencé doit maintenant être présenté aux gens sous une nouvelle forme par la parole et par écrit. Bruno Groening ne doit pas entrer dans l’histoire en tant que charlatan, mais en tant que guérisseur spirituel. Toute personne qui veut aider et qui veut rester en contact ou venir avec l’enseignement divin que Bruno Groening nous a transmis et continuera de transmettre, doit contacter le bureau du « Groupe de travail libre Bruno Groening ». Le travail se poursuit sous la devise que Bruno Groening a maintes fois soulignée :